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| Sû Akiwari | |
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Sû Akiwari Vampire
Nombre de messages : 50 Age : 164 ans Date d'inscription : 10/11/2005
| Sujet: Sû Akiwari Ven 11 Nov à 17:11 | |
| Nom : Akiwari
Prénom: Sû
Race: Vampire
Âge réel: 164 ans
Âge en apparence : 19 ans
Sexe : Fille
Emploi : Sans emploi, pas besoin de ça
Histoire :Bienvenue en 1860, l’année où la grande Sû Akiwari, autrement dit moi, devint une vampire qui marqua l’histoire de ses canines. Oui, moi, j’étais destinée à marquer l’histoire…
Si on prend la définitions du dictionnaire, ça donne ça : vampire, nom masculin (all. Vampir ; du slave). 1. Mort qui, selon une superstition populaire, sortirait du tombeau pour sucer le sang des vivants. 2. Personne qui s’enrichit du travail d’autrui. 3. Chauve-souris d’Amérique tropicale, en général insectivore, mais pouvant mordre des mammifères endormis et absorber leur sang. (Envergure environ 20 cm.) Evidemment je suis beaucoup mieux placée que ce dictionnaire pour vous raconter ce qu’est un vampire, j’en suis moi-même un comme je l’ai dit précédemment. Et je préfère vous dire tout de suite que c’est la définition 1 qui nous intéresse.
Eh oui, si on en croit cette définition, je suis… Une légende, et oui. Enfin je prends ça comme un compliment, oui, moi, Sû, la grande Sû, je suis une légende vivante… Eh bien eh bien, n’est-ce pas beau ? Mais ne vous étouffez pas trop de jalousie, c’est vrai, être une légende vivante me plaît, me plaît même énormément, mais ma position est bien loin d’être idéale… Bon, en même temps, regardez-moi ces stupides humains, qui eux, n’ont rien du tout de spécial. Je dirai que je suis supérieure, et cela sans me vanter. Bref, ma condition est tout de même bien loin d’être idéale. Bon, je ne vous raconterai pas non plus ce qui ne va pas, vous pourriez tirer ça à votre avantage, et je ne suis pas folle à ce point…
En réalité, devenir vampire est la meilleure chose qui ait pu m’arriver dans toute ma longue vie… Oui, le goût du sang dans ma bouche, le goût de la chaire humaine… La souffrance des personnes… Voyez-vous, j’aime tout ça, j’aime ma position.
Nous, les vampires, sommes des légendes, des mythes. Et pourquoi personne ne confirme véritablement notre existence ? Parce que nous ne laissons jamais nos victimes en vie, ou bien nous les transformons en les faisant boire notre sang précieux. Du moins, ceux qui arrivent à « vivre » après avoir bu… Nous tuons les plus faibles pour paraître forts, ce que nous sommes. Toutes les fuites qu’il y a à notre sujet, nous tuons ceux qui l’ont laissée passer pour mieux garder le mystère de notre existence. Et je dois vous avouer que voire la tête d’une personne qui se rend enfin compte de ce qu’est l’individu en face de lui est pour le moins… très amusante, et imaginez la satisfaction que j’éprouve lorsque j’achève cette personne, qui s’aperçoit qu’il a vécu toute une vie dans l’ignorance… Voyez, ses humains, enfoncé dans leur naïveté, leur « innocence », leur ignorance du monde réel, ne connaissent même pas l’immortalité… Non, ils ne la connaissent pas. Nous les vampires, nous ne risquons pas de mourir de cette stupide chose qu’est la vieillesse.
J’en reviens à mon histoire. Je suis bien sûr née en 1841, mais toutes mes petites années d’enfance m’importent peu, et donc vous aussi par la même occasion, c’est logique. Mais bon, je suppose que vous êtes tout de même curieux sur ma vie d’avant ma nouvelle, celle qui m’a délivrée de cette humanité stupide. Heureusement qu’Il était là, car sinon je serai morte depuis belle lurette. Lui, Il fut mon premier véritable amour, mais je L’ai tué. Oui, moi, j’ai tué Celui que j’aimais. Que voulez-vous, il faut savoir faire des sacrifices dans cette putain de vie éternelle. Oui, cette vie éternelle apporte beaucoup de choses nouvelles, beaucoup de souffrances d’ailleurs…
Mais commençons donc d’abord par ma vie d’avant, mais c’est vraiment pour vous faire plaisir… Tsss, vous y avez cru n’est-ce pas ? Je me moque pas mal de vous, j’aime raconter ma vie, mon histoire, à quelqu’un. Mais vous n’êtes pas n’importe qui, vous, habitants de Dead City, Vous êtes mes futures victimes, je me fais un devoir donc, de vous honorer de mon histoire qui a traversé plusieurs siècles. Oui, j’en suis à 2, mais c’est déjà pas mal. Mais que voulez-vous ? Je sais me débrouiller, je sais survivre, je sais … Je sais pas mal de choses que vos oreilles sensibles ne devraient pas savoir. Je vous raconte déjà mon histoire, pour vous enlever votre ignorance stupide, mais je ne vous raconterai pas tout…
Je suis née en 1841, dans un village au sud du pays. J’y ai grandi, je m’y suis embellie, instruite… En fait, grâce à ses années, je suis devenue presque parfaite. Seul ce que j’ai acquis en 1860 me permit de me compléter, de renaître à nouveau grâce à Lui… Je suis fille d’un homme et d’une femme riche, extrêmement riche. En réalité nous aurions pu entrer à la cour de l’empereur du Japon sans soucis, et mes parents y étaient souvent invités. Moi, j’étais trop jeune encore. Jusqu’à mes 16 ans. Ma personnalité, ma perfection trop parfaite, mon physique plus qu’avantageux, me permit enfin de pouvoir accéder à ces fêtes organisées. En réalité, je fis très vite parties des favorites d’un certain Hiwako Tokimi, un homme étrange, parfait, mais pas autant que moi. Je résidais alors à la cour du Japon, là où celui-ci habitait. Ceci créa quelques jalousies d’ailleurs, trop d’hommes me désiraient, mais un seul réussit à m’avoir, enfin un seul que j’allais bientôt tuer. Non, ce n’est pas lui mon premier véritable amour. Celui-ci fût une erreur, une grande erreur. Je m’en suis séparée sans regrets d’ailleurs, mais il m’avait permis d’accéder à un pouvoir assez important. Evidemment, je n’étais pas impératrice, mais je comptais. Mes parents devenaient des tâches maintenant, des tâches à éliminer, puisqu’ils entachaient justement ma perfection. Imaginez quelle honte c’était pour moi, d’avoir des parents qui « venaient de la cambrousse ». Quelle honte vraiment, et il était plus facile de les supprimer eux que de supprimer toute la cour. Ainsi ils disparurent mystérieusement tandis que je faisais mon deuil, aussi terrible soit-il. Je dois avouer que j’ai toujours eu beaucoup d’ambitions, et pour une humaine, je trouve que je rehaussais pas mal le niveau…
Ma réputation et mon pouvoir devenaient de plus en plus importants, aussi je jugeai que mon amant ne valait plus la peine d’exister. Les rôles s’étaient inversés, lui était dans mon ombre, je n’étais plus dans la sienne. Aussi je le fis tomber dans un piège. Oui, en plus de ça j’avais une grande, une immense imagination. Ce ne fut pas difficile d’ailleurs de le faire avoir… J’ai monté moi-même un complot contre l’empereur, et j’ai ensuite fait en sorte que tout retombe sur lui. En effet, qui aurait pu penser que la belle, l’innocente, la parfaite Sû pouvait monter un complot contre son empereur ? Mon plan réussit évidemment, et Hiwako tomba, entraînant ceux que je voulais dans sa chute, et j’en ressortais moi-même plus brillante, plus éblouissante que jamais. Et dire que j’ai fait tout ça en une seule année… Je me retrouvais donc avec l’âge de 17 ans… Qu’est-ce que ça peut me paraître loin maintenant… C’est vrai, j’en suis à ma 164ème année d’existence sur notre chère planète. Je crois que plus le temps passe, plus je me perfectionne. Je dirais même que j’ai dépassé le stade de la perfection depuis longtemps, et cela sans me vanter. Non, c’est vraiment pas mon genre. Sérieux, les vantards moi ce que je leur fais, c’est que les tue, sans aucun autre choix. Ils ne méritent pas d’être vampire, c’est-à-dire de la même race que moi… Mais malheureusement d’autres usent de leur pouvoir à tord et à travers et transforment n’importe qui. Pourtant il faut le mériter, je ne fais pas honneur à n’importe qui moi…
Bref, nous sommes en 1858, j’ai 17 ans, et mes parents bien-aimés sont morts, ainsi que celui qui me prenait pour sa favorite. Je suis seule à la cour, et pourtant entourée de gens, qui veulent prendre soin de moi. Mais ne comprennent-ils pas que moi, ce que je veux, c’est quelqu’un de pouvoir ? Ne comprendront-ils jamais ça ?
Mais un jour… Un jour, à mes 18 ans, je fus trahie, moi oui, pourtant si parfaite, je fus trahie, par ma seule et unique confidente. Je m’étais fait avoir comme une petite merde. Evidemment, comme j’avais été naïve de croire que cette putain de confidente allait tout garder pour elle… Pourtant, je l’avais menacée de la tuer, je l’avais menacée de tuer sa famille, de la faire souffrir encore et encore si jamais on apprenait ce que je faisais, mais évidemment, toutes les informations que je lui avais donnée suffisaient pour faire d’elle une personne comme moi, une personne ayant la même influence, la même importance… Cette fille n’avait pourtant rien, non, elle n’avait rien du tout. Elle était laide, conne comme pas possible, dénuée d’intelligence, bref, le contraire de Sû, de moi. Rien ne comptait d’autre après tout, à part l’ambition, mais apparemment, celle que j’avais jugée comme idiote avait de l’ambition, plus que je ne le croyais, et moi, Sû, me suis faite avoir par cette pute de luxe.
J’ai donc été bannie de la capitale, et je retournai dans ma maison initiale. Oui, juste bannie. On m’aimait à la cour, et l’empereur aussi, ainsi je fus seulement bannie, et ce fût la plus grande erreur de l’empereur, et de la cour impériale.
Enfin nous arrivons à mes 19 ans, cette grande année. Cette année où Il arriva. Il, c’est Seito Akiwari. Oui, c’est bien le même nom que le mien, tout simplement parce que j’ai pris le sien, car ce grand homme mérite d’avoir ceci en honneur. Le seul homme, enfin ce n’est pas vraiment un homme, c’est un vampire évidemment, mais ce fût le seul qui me connut dès qu’Il croisa mon regard. Evidemment ma réputation me précédait, mais Lui comprit. Lui voyait en moi une personne que la perfection avait décidé d’occuper, et il ne me manquait plus que le don d’ « immortalité ».
Nous nous sommes rencontrés, et nous nous sommes aimés au premier regard. Rapide n’est-ce pas ? Mais… je Le connaissais depuis toujours en fait. Lui était mon maître. Nous nous sommes juste croisés d’abord… Puis une nuit… une nuit où nous pensions encore l’un à l’autre, un homme entra dans ma maison. Sauvage, rapide, brutal, il saccagea tout. Je L’avais reconnu, oui, Lui, reconnaissable entre mille. C’est mon dieu, et je l’ai tué… La seule phrase qu’Il me dit cette nuit-là fut celle-ci :
« Tu vas renaître cette nuit. »
C’était la nuit la plus importante de ma vie, la première nuit la plus parfaite de ma vie. Nous nous sommes aimés, durant cette nuit où rien ne comptait. Enfin, je crois pas avoir besoin de vous faire un dessin. Cette nuit était… intense, particulièrement intense. Cette nuit ne dura pas d’ailleurs qu’une nuit. Elle dura la journée qui suivit aussi. Puis, enfin, le soir, alors que Seito m’avait mordu la veille, pour que je devienne parfaitement parfaite, je réussis à me transformer complètement, les dents sorties, le visage tiré. Il m’avait laissé alors que je me transformais, suivant la même métamorphose que moi dans une autre pièce, et nous sommes sortis tous les deux de chez moi, enfin de mon ancien chez moi, pour que je fasse mes premières victimes. Ce fut un moment de jouissance extrême, c’était bestial, sanglant, parfait. Les deux nuits, les deux moments les plus parfaits de ma vie furent l’année de ma renaissance.
Nous sommes ensuite partis, après avoir dévasté le village. Là, Seito me donna son nom. Ceci me suffisait. Seito Akiwari… Mon premier amour, d’autres ont suivi, et d’autres sont morts aussi… Qui aurait pensé que ce 13 avril 1901, Seito me demanderait de le tuer ? Lui, mon maître, mon sauveur, mon père et mon amour, j’allais le tuer ? Je m’exécutais sans pour autant redire quoi que ce soit sur sa demande, sur son ordre. Ainsi, Seito mourut de mes mains, le jour même, à la minute même où il me l’avait demandé. Etait-ce ça le vrai amour ? C’est celui qui nous fait souffrir ? Celui qui fait qu’on écoutera l’être aimé sans se poser de questions ? On était au beau milieu de la journée, et je me rappelle que mon apparence de vampire était apparue… Je m’étais alors nourrie de son sang, au beau milieu du jour. Mais un mystère demeure… Moi-même je n’ai pas compris comment j’ai fait. Mais le fait est qu’après m’être nourrie de son sang, je me sentais d’une force nouvelle… Et j’arrivais à rester sous forme de vampire quelques minutes durant la journée… Même si cette journée était particulièrement sombre.
Des années et des années passèrent, j’oeuvrai désormais seule, transformant ceux qui étaient dignes de devenir des vampires, achevant ceux qui croisaient mon passage et qui n’étaient que… rien. Evidemment il y eût beaucoup plus de victimes que d’heureux élus. Je crois que je suis une sorte de mère maintenant, mais comme toute bonne mère, je les abandonne dans leur état d’inconscience suivant la morsure. Ils devaient se débrouiller tout seul pour arriver à un état de puissance. Moi aussi, moi, Sû, j’ai été abandonnée.
Je repartis à la capitale, dans laquelle rien n’avait changé, à part l’âge de ses occupants. L’empereur avait vieilli, les courtisans aussi. Vous n’imaginez pas quelle joie j’eue lorsque je découvris que celle qui m’avait trahie était encore en vie… Elle, qui avait eu une famille, dans laquelle ses enfants étaient aussi laids qu’elle, et pourtant elle s’était mariée à un courtisan richissime, très proche de l’empereur. J’avais un plan, un plan horrible, et j’allais la faire payer de ce qu’elle m’avait fait. Non, ça n’était pas grâce à elle que j’étais devenue vampire… Seito m’aurait trouvée tôt ou tard, notre lien était trop fort, même si nous ne nous connaissions pas, le destin nous avait choisi. Je restais dans l’ombre, et m’infiltrais avec une facilité déconcertante à la cour, et dans les maisons de ses enfants… Elle en avait trois, qui eux-mêmes avaient déjà des enfants. Quel festin, non mais quel festin. J’ai tué tout le monde, leur sang était exquis. Je n’en ai transformé qu’un, que j’ai encouragé à tuer sa mère. Sa mère qui mourut dans la plus atroce des souffrances.
Dernière édition par le Mar 29 Nov à 20:26, édité 2 fois | |
| | | Sû Akiwari Vampire
Nombre de messages : 50 Age : 164 ans Date d'inscription : 10/11/2005
| Sujet: Re: Sû Akiwari Ven 11 Nov à 17:11 | |
| Je vais vous expliquer la scène… La femme s’était retournée à l’approche de son fils, moi j’étais restée derrière.
« Je suis très heureuse de te revoir… Après tant d’années, tu as beaucoup changé… Mais tu n’es pas comme moi, et tu n’es pas non plus comme ton fils…
… Je tiens toujours mes promesses.»
Cette connasse, idiote, imbécile, m’avait regardé avec des yeux terrorisés en me reconnaissant. Bien sûr, ça avait dû être un choc pour elle, de voir son ancienne maîtresse, toujours aussi belle… Tout avait été calculé par mes soins, personne ne pouvait faire irruption dans la maison, tout se déroulerait parfaitement. Il suffit que j’ordonne au le fils de cette vieille pute de la tuer pour que celui-ci prenne son apparence de vampire sous ses yeux terrifiés pendant que j’éclatais de rire, me transformant moi aussi. Le garçon sauta sur sa mère et la vida peu à peu de son sang… Elle allait forcément mourir, aussi achevai-je son fils sous ses yeux, fixant mes yeux dans les siens tandis que le jeune homme reprenait peu à peu sa forme initiale. Vous ne pouvez pas imaginer dans quel état j’étais. C’était inexplicable, accomplir enfin ma vengeance, et elle n’aurait plus jamais de descendance tandis que j’en avais déjà une grande moi-même après avoir fait boire un peu de mon sang à des personnes dignes. En plus de cela elle était en train de mourir dans la pire agonie qui soit. Je la regardai essayer de lutter contre la mort, qui était inévitable car elle avait perdu trop de sang. Je la faisais souffrir aussi, lui brisant chaque os, chaque membre. Le bruit que cela faisait était plus que satisfaisant à mes oreilles…
Elle mourut, après avoir subi trois heures de tortures. La vieille était plus résistante que je ne l’aurais pensé… Je suis donc partie à la suite de ville en ville, de massacre en massacre, toujours en train de répéter les mêmes choses. Ma vie devint en réalité lassante, et ceci jusqu’en 1916 où je fis la connaissance de Yuki Omuro. Je le mets dans mon histoire parce que je suis quand même restée plusieurs années avec lui. En fait il était carrément devenu fou de moi et je n’arrivais plus à m’en débarrasser, alors finalement on a commencé à être ensemble pendant 7 ans. Ce qui m’attirait chez lui, c’était ce qu’il dégageait, et même si à chaque fois quand y avait de la merde je m’occupais du problème moi-même et qu’il ne s’est jamais battu devant moi, je savais qu’il était quand même très fort. Alors au début je suis restée avec lui à cause de ça. Bon, y avait aussi qu’il baisait quand même bien, mais après il a commencé à sérieusement me saouler. J’étais restée avec lui pour apprendre des trucs et tout mais Yuki ne faisait finalement rien, et était littéralement à mes pieds sans pourtant l’être en même temps. Non mais sérieusement, il voulait me faire croire qu’il était dans la peace and love attitude alors que quand je le voyais tuer quelqu’un, on voyait nettement qu’il était tout le contraire. Alors au bout de sept longues années, je me suis taillée en le laissant tout seul, pare que j’en avais marre. Je crois que le pire truc qu’il m’avait fait, c’était de m’appeler Sûnette, alors évidemment après ça je pouvais plus rester.
Et en 1996, j’entendis parler d’une ville, qui avait l’air vraiment très très intéressante… Dead City. La ville de la mort. Sa réputation la précédait, comme elle me précédait. En 1996 donc, j’arrivai à Dead City.
A noter que je ne fais partie d’aucun groupe de vampire. Seuls les faibles font partie d’un groupe, d’un clan, d’une famille. Ils se croient plus forts à plusieurs, mais c’est une erreur. Ils ne savent pas se débrouiller tout seuls, chaperonnés par quelqu’un dès leurs renaissances, quelqu’un qu’ils n’oseront jamais tués… J’œuvre donc seule. Mais attention, cela ne veut pas dire qu’il n’y a pas d’exceptions parmi ses groupes, je ne les déteste pas, ne me faites pas dire ce que je n’ai pas dit. D’ailleurs, certains voudraient que je les rejoigne… Ils ne comprennent pas, ils ne comprennent rien. Ceux qui ont compris ce qui m’intéresse seraient peut-être dignes.
Aussi la stupide gueguerre loup-garou/vampire ne m'intéresse plus depuis longtemps. Du moment que personne ne me cherche des embrouilles tout va bien.
En même temps depuis que je suis petite, j'ai toujours adorer danser, et c'est vite devenu une passion. Quand j'étais humaine je connaissais déjà toutes les danses de mon époque, et plus le temps a passé, plus j'ai continué. Du coup je sais danser n'importe quoi maintenant, et faire des chorégraphies de malade sur un morceau de merde. Mais faut dire que j'ai eu pas mal de temps pour m'y consacrer.
Caractère : Sû est une perfectionniste dans l’âme. Comédienne sûre de son talent, intelligente, calculatrice, une imagination débordante, elle réussira tout ce qu’elle entreprendra. Elle est très sûre d’elle, et pense avoir passé le stade de la perfection. Enfin, ça dépend de la perfection qu’on parle évidemment. Sû a un très mauvais fond, comme vous l’aurez lu dans son histoire complète. Avant même de devenir une vampire elle était ignoble. Sû recherche le pouvoir, par tous les moyens possibles. Cette femme à l’allure de jeune fille aime le sang, la perversité, et inspirer la terreur. Elle prend tout le monde pour des moins que rien, et n’a pas peur de le montrer, quel que soit l’issue de la situation dans laquelle elle se trouve. Elle ne montrera qu’un semblant de respect aux personnes plus fortes qu’elle pour mieux trouver leurs points faibles et les achever. Encore faudrait-il qu’il y ait une personne plus puissante qu’elle… En effet, Sû est très rusée. Elle est vive, intelligente, et n’hésitera jamais à tuer quelqu’un qu’elle apprécie plus ou moins pour arriver à ses fins… c’est Seito qui lui a appris cela en fin de compte. Oui, Le grand Seito. Malgré tout elle sait très bien cacher son jeu grâce à un talent de comédienne, pour mieux tromper les gens. Mais ne vous leurrez pas, elle ne tarde jamais à montrer sa vraie nature. Elle aime beaucoup voire les humains conforté dans leur naïveté et se croire au sommet d’une chaîne alimentaire qui n’est autre qu’une illusion destinée à avoir leur confiance. En bref, si vous tenez à votre vie ou à votre immortalité, ne venez pas vers Sû, ça serait la plus grande erreur et la dernière chose que vous feriez de votre vie et tout ça pour le plus grand plaisir de celle-ci ^o^ En fait, le fait qu’elle est comédienne et calculatrice fait d’elle une personne très mystérieuse, une personne étant elle-même un mystère qu’il ne vaudrait mieux pas résoudre… Ou peut-être que si finalement, car celle-ci ne tient en estime que ceux qui auront compris la complexité de son esprit, et autant vous dire qu’il n’y en a pas eu beaucoup… Un dernier avertissement… Si vous la voyez au beau milieu de la nuit transformée, partez aussi vite que vous le pourrez, mais si elle vous a repéré, il se pourrait que vous ne soyez jamais assez rapide.
Physique : Des cheveux noirs et fins descendant un peu plus bas que les épaules, un regard sombre, profond avec des yeux noirs, vous pourriez avoir l’impression de lire énormément de choses et en même temps rien du tout dans son regard. Ceci est fait exprès pour troubler les gens, pour attirer l’attention, pour vous attirer, vous, ses proies. Et ceci marche d’ailleurs, grâce à son visage tout aussi mystérieux que ses yeux, tout aussi parfait qu’elle. Ses traits suivent une grande finesse. En réalité on la croirait sortie d’une peinture du plus grand peintre que la terre ait porté, peintre inconnu comme ses œuvres, qui en ressortiront plus belle encore plus tard. Sû demeure un mystère dans son caractère et donc son physique. Comme les abeilles attirées par les fleurs, les gens sont attirés par Sû, grâce au charme mystérieux, inquiétant et excitant qu’elle dégage d’elle. Ce charme est la cause de pas mal de morts d’ailleurs, mais si Sû n’avait encore seulement ça, elle se considérerait elle-même comme faible, mais elle trouve ça normal qu’elle l’ait. Après tout, elle est parfaite. Elle est de taille normale et a une silhouette plutôt fine, malgré des formes avantageuses une fois encore, avec de longues jambes… Non ne soyez pas jalouses mesdames ou mesdemoiselles, car je vous assure que les personnes devraient aller vers vous plutôt que vers elle. Elle préfère s’habiller normalement, en n’avantageant pas forcément son physique, elle n’en n’a pas besoin (bavez pas hein :p). Et puis mieux vaut s’adapter au temps qui changent, on passe mieux comme ça.
Autres : Elle sait reconnaître chaque individu de n’importe quelle race grâce à son expérience héhé
Avatar :Lee Hyori (je sais je change souvent XD)
Dernière édition par le Jeu 22 Déc à 14:54, édité 4 fois | |
| | | Namie Hitsuko Boss des vampires
Nombre de messages : 108 Age : 547 ans Date d'inscription : 19/10/2005
| Sujet: Re: Sû Akiwari Ven 11 Nov à 17:31 | |
| Yahouuuuu Fannou ^o^
J'adore l'histoire, et le style c'est bien écrit pis on voit bien qu'elle se prends pas pour de la merde :p ça monte bien sa mentalité : )
En tout cas j'adore donc c'est bon (jle dis au cas où ce serais pas logique :p) donc amuses toi bien sur le fofo : )
[Si tu veux avoir des victimes au fait, suffit de demander et on les fait en PNJ] | |
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| Sujet: Re: Sû Akiwari | |
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| | | | Sû Akiwari | |
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